F.

Freud had uncovered somthing new by F. Coblence & J.-L. Donnet

According to Jones, Freud had told him that through the case of an American patient referred to him, he felt he had uncovered something new about paranoia, that he had penetrated it down to the bedrock; and it brings to mind what he had written to Ferenczi in 1910: “I have succeeded where the paranoid fails.”

Selon Jones, Freud lui avait annoncé qu’à travers le cas d’un patient américain qu’il lui avait adressé, il avait l’impression d’avoir découvert du nouveau sur la paranoïa, qu’il l’avait pénétrée jusqu’au roc ; et l’on songe à ce qu’il avait écrit à Ferenczi en 1910 : « J’ai réussi là où le paranoïaque échoue. »

Françoise COBLENCE, Jean-Luc DONNET, « Argument : « Sur quelques mécanismes névrotiques dans la jalousie, la paranoïa et l’homosexualité » », Revue française de psychanalyse, 2011/3 (Vol. 75), p. 645-648.
DOI : 10.3917/rfp.753.0645.
URL : https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2011-3-page-645.htm

S.

So little echo of The book By Marcel Scheidhauer

Eighteen months after the publication of the book, Freud complained that no scientific journal and only a few other newspapers had talked about it: “The Science Of Dreams [The Interpretation Of Dreams] was hardly mentioned in psychiatric journals. “Jones noted for his part:”A such important book has rarely generated so little echo. “

Dix-huit mois après la parution du livre, Freud se plaignit de ce qu’aucune revue scientifique et peu d’autres journaux n’en eussent parlé : « La Science des rêves fut à peine mentionné dans les revues de psychiatrie. » Jones note de son côté : « Il est rare qu’un livre aussi important ait suscité si peu d’écho.»

Marcel Scheidhauer, Le rêve freudien en France 1900 – 1926, Navarin, Paris, 1985, p. 27

W.

What does the woman want ? by Sigmund Freud

The big question remained unanswered and which myself have never been able to answer despite my thirty years of study of the feminine soul is: “What does the woman want? “

La grande question restée sans réponse et à laquelle moi-même n’ai jamais pu répondre malgré mes trente années d’étude de l’âme féminine est la suivante : « que veut la femme ? »

Ernest Jones attributes this sentence to Sigmund Freud, refering to a letter sent by Freud to Marie Bonaparte.

Ernest Jones, La vie et l’œuvre de Sigmund Freud T.II., PUF, p.445