“It” never talks but from its symptoms. That is the riddle: “There must be something hidden at the bottom of all, I think definitely to something obscure, meaning closed and hidden, who lives in the common,” wrote Mallarmé in The mystery in letters. However, the symptom that has integrated the subject’s answer, and thus gives a new construction, in other words a creation, isn’t that what Lacan rewrote by the Sinthome? A rewriting, by its own symptom, of the self ?

 

« On » ne parle jamais que depuis son symptôme. C’est cela l’énigme : « Il doit y avoir quelque chose d’occulte au fond de tous, je crois décidément à quelque chose d’abscons, signifiant fermé et caché, qui habite le commun », écrit Mallarmé dans Le mystère dans les lettres. Or le symptôme qui a intégré la réponse du sujet, et qui donne donc une construction nouvelle, autrement dit une création, n’est-ce pas ce que Lacan a réécrit par le sinthome ? Une réécriture de soi par son propre symptôme ?

 Laurie Laufer, « La sépulture mallarméenne. Pour un tombeau d’Anatole », Cliniques méditerranéennes 2/ (n° 80), Paris, Erès, 2009, p. 97

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